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Biographie
25/04/2006 21:32
Green Day est un groupe Punk-rock célèbre. Les membres du groupe sont Billie Joe Armstrong, Mike Dirnt (né Michael Pritchard), et Tre Cool (né Frank Edwin Wright III).
A l’âge de 12 ans, Tre Cool devient membre du groupe The Lookouts. Leur album attire l’attention et Tre commence à se produire à un jeune âge au club punk de Berkeley en Californie, 924 Gilman Street. En 1987, Armstrong (15 ans) et Dirnt (16 ans) forment le groupe The Sweet Children, avec Armstrong (chant et guitare) et Dirnt (basse et chœurs). Ils commencent à jouer en 1988 au Rod’s Hickory Pit à Rodeo en Californie. En 1989, les « Children » se renomment « Green Day » après leur première chanson à semi-succès. Ils ajoutent rapidement Al Sobrante (né John Kiftmeyer) au groupe et recherchent à contrat pour un enregistrement.
Pendant qu’en 1988 et 1989 Armstrong forme Green Day et The Sweet Children et commence une tournée pour la première fois notamment à Atlanta en Géorgie, Stark dans le Wisconsin, Los Angeles, New York et au Canada, Les Lookouts sortent sur le label punk Lookout! Records, tenu par la meneuse du groupe Lawrence Livermore. Green Day signe chez Lookout en 1989 et sortent leurs premiers EP 1,000 Hours et Slappy en 1990. L’année suivante, ils produisent l’album 39/Smooth et le sortent en 1991. Al Sobrante quitte le groupe à ce moment et est remplacé par Tre.
Green Day démarre une tournée nationale le jour suivant l’obtention d’un diplôme du « High School » par Dirnt en 1990, avant « Slappy ». Ils retournent ensuite en studio pour produire leur deuxième album, « Kerplunk », en 1992. Le groupe signe avec Reprise Records en avril 1993, quittant Lookout amicalement. Ils sortent leur premier album chez Reprise, « Dookie » en février 1994. Durant quelques mois, les nombreux passages sur MTV pour les vidéos « Welcome to Paradise » et « Longview » ont fait de l’album, et du groupe, un succès. Mais c'est avec la sortie du single de "Basket Case" que Green Day va marquer son coup puisque ce single va rester durant 5 semaines d'affilés en première position des charts rock américaine.
Green Day se joint à la liste des groupes sur les festivals de Lollapalooza et de Woodstock en 1994. Pendant le concert du groupe à Woodstock une bagarre a lieu entre les membres du groupe et le public durant laquelle Dirnt perd ses dents de devant.
Ils enregistrent un single appelé « J.A.R. », en 1995 et poursuivent avec l’album Insomniac". Bien que l’album ne connaisse pas le succès de « Dookie » il se vend à plusieurs millions d’exemplaires aux USA. Leur troisième album majeur, Nimrod sort en 1997 et Warning en 2000.
Nous sommes en 2001, lorsque Green Day sort sa première compilation, International Superhits !, qui regroupe les meilleurs morceaux du groupe depuis leur début.
En 2003 (pendant que Green Day est en studio) un groupe New Wave paraît sur scène sous le nom de The Network avec un album nommé Money Money 2020 de Adeline Records un record label fondé par Billie Joe Armstrong et trois autres personnes. On dit sur le site que le groupe est extrêmement mystérieux et qu’aucun des membres n’a jamais montré son visage en public. Ce groupe semble à première vue être Green Day ; le front man « Fink » est d’une ressemblance frappante avec Billie Joe. De plus, Green day a déjà enregistré une chanson nommée « The Ballad of Wilhelm Fink ». Mais ce n’est pas tout, Tre Cool s’était déjà fait appelé Captain Underpants lorsqu’il était dans The Lookouts. Curieusement, Captain Underpants fait aussi partie de The Network.
En 2004, Greend Day sort un nouvel album nommé « American Idiot » qui est décrit comme étant un « Opéra rock » racontant l’histoire de plusieurs personnages comme St Jimmy, Jesus of Suburbia ou Whatsername. Certaines pièces de l’album ont une durée de plus de neuf minutes.
biographie trouvée sur : http://www.a525g.com/musique/green-day.php
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Biographie
25/04/2006 21:26
Un ado solitaire, petit, asocial, amateur de punk et de rock indé, né de l’union d’une bigote écossaise et d’un banquier américain. Un fils de banquier toujours, suédois cette fois, grand, très grand et sportif, amical et populaire, autant fan de Iron Maiden et Metallica que de Abba et Depeche Mode. Plus un gamin gouailleur de la banlieue ouvrière de Manchester en Angleterre, qui écoute The Smith, The Cure et Prince.
Alors que la plupart des groupes de rock sont l’association de gamins ayant grandi dans la même ville, ayant fréquenté la même école et joué aux mêmes jeux au son des mêmes influences musicales, voire de la même famille parfois, Placebo lui, est le fruit de l’union contre nature de trois personnes qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
Des points communs, il yen a évidemment, ceux là même qui ont permis à ce trio de tisser ses premiers liens. Mais ces liens de bases sont aussi fragiles que des fils de soie, et pourtant ils sont à l’origine d’une des plus solide formation du rock. Soudés et complices, complémentaires comme peu d’autres groupes le sont.
Bien sûr, Stefan Olsdal et Brian Molko sont tous deux enfants de la classe bourgeoise qui ont fréquenté la même école au Luxembourg, et bien sûr que Steven Hewitt est un grand fan des Smith et The Cure comme Brian Molko, et qu’il a écouté des AC/DC comme Stefan, bien sûr que tous trois apprennent dès l’adolescence à jouer de divers instruments, en élève ou en autodidacte, mais les comparaisons s’arrêtent là. Stefan et Brian ne se fréquentent pas, ils ne sont pas du même monde. Steve est lui à des milliers de kilomètres et n’a pas les mêmes préoccupations dans son quartier ouvrier.
Mais voilà que Brian veux devenir acteur et fuit le Luxembourg pour Londres en 90, et que Stefan après un retour en Suède part lui aussi pour Londres afin d’étudier la musique. Des retrouvailles fortuites dans la station de South Kesington, en 1994, un échange de numéros de téléphone pas très convaincu, qui fait suite à une guitare portée en bandoulière vont leur permettre d’engager la conversation un peu plus loin que les habituelles banalités.
Brian Molko connaît déjà Steve Hewitt, rencontré au Burger King de Lewisham par le biais d’une amie pensionnaire du Goldsmith’s College où il suit des cours d’arts dramatiques. Ce dernier, malgré des engagements musicaux divers et quelques fois lucratifs, accepte d’épauler de sa batterie Brian lors de quelques prestations. C’est ce duo que Brian invite Stefan à venir entendre au Round The Bend, un pub de Depfort.
Stefan contre toute attente vient, et il est conquis. La conversation s’engage enfin sur un plan plus personnel. Ainsi ils se découvrent plus d’affinités qu’ils n’auraient deviné. Steve Hewitt n’est encore qu’un renfort occasionnel, et c’est sous le nom de Ashtray Hearts, référence à un titre de Captain Beefheart, que naît la première formation composée de Brian Molko et Stefan Olsdal, et parfois Steve Hewitt… Leur premières démos, ils les font sur un 4 pistes, avec des instruments gadgets et un clavier. Mais après les maquettes qu’il a enregistrées avec le groupe, Steve Hewitt ne peut plus se consacrer davantage à ses amis, et doit les laisser pour rejoindre Breed pour une tournée en 1ère partie de Nick Cave.
Octobre 94, le duo cherche un batteur, et ce sera Robert Schultzberg, ami suisse de Stefan, qui fera l’affaire. A partir de là, Ashtray Hearts laisse place à Placebo. Les raisons de ce choix ? Il n’y en a pas, à part la musicalité du mot. Ne cherchez pas plus loin un quelconque effet placebo ou la métaphore de la substance non réactive, ça n’est le fruit que de spéculations post natales.
Placebo donc devient un vrai groupe rock : guitare, basse, batterie. Ils passent trois mois à écrire et répéter avant de donner leur premier concert à Londres, le 23 Janvier 1995 au Rock Garden.
Un son hérité directement du punk, des textes crades et noirs chantés par une voix de Mickey : voilà qui à côté des Blur et autres Oasis a peu de chance de se voir promis à un brillant avenir dans les charts. Mais c’est justement cette différence, cette image du leader chanteur qu’on avait plus revu depuis les années 80 qui va attirer l’attention des labels et va apporter une bouffée d’oxygène à une scène pop rock anglaise sclérosée. Enfin un peu de transgression dans l’univers consensuel et macho des années 90, marquées par la génération SIDA. Deux mois après, en mars 95, les voilà qui posent sur une maquette au studio Sound Advice de Deptfort six titres : Teenage Angst Bruise Pristine Paycheck Flesh Mecanic 36 Degrees Nancy Boy. Ils continuent de jouer, de Londres à Deptford et sont déjà remarqués par les professionnels de l’industrie musicale. On leur propose de participer à un tremplin rock à l’issus de leur prestation du 24 juillet 95 en 1ère partie de Ash au Dublin Castle. Tremplin qu’ils remportent avec deux autres groupes et qui va leur permettre de voir pour la 1ère fois un de leur titres, Bruise Pristine, sortir sur un CD sous le label Fierce Panda.
Le groupe continue de tourner, inlassablement, répond à une interview du magasine NME mais ne signe toujours pas. C’est le 5 Février 1996 que sort le premier vrai disque de Placebo, Come Home sur Deceptive Record. Peu après, c’est avec un label de Virgin, Hut recording, que Placebo va passer une alliance. La démo qui a atterri chez eux va arriver jusqu’aux oreilles de David Bowie. Il leur propose la première partie de sa tournée, en remplacement de Morrissey, ex-Smith.
Tout c’est enchaîné très vite donc, et en moins de deux ans d’existence, Placebo est déjà sacré espoir de la scène rock britannique.
Tout irait bien donc, si Brian et Robert s’entendaient. Mais ça n’a jamais été le cas, et les choses vont de mal en pis. Le jeune groupe fragile manque de mourir étouffé dans l’œuf, sous le regard désolé de l’ancien compagnon des débuts, Steve Hewitt, croisé quelque fois au hasard des tournées. Au printemps ils enregistrent enfin leur premier album sous la production de l’ex-Tortoise Brad Wood à Dublin. Il sort le 17 Juin de la même année. Les singles se succèdent : 36 degrees, Teenage Angst et Nancy Boy. Ce dernier grimpe à la 4ème place des charts et marque la fin de la collaboration avec Robert Schultzberg. Il est prié de quitter Placebo, et aux dernières nouvelles il officie avec le groupe Lomax, qui a sorti un album en 2003.
Des auditions pour trouver un nouveau batteur ne donnent rien de vraiment satisfaisant. On propose alors à Steve de revenir, il accepte, intègre très vite les nouvelles chansons du groupe et part aussitôt en tournée avec eux, faisant revivre ainsi le combo des débuts.
La suite de l’histoire, elle s’est écrite sur 4 autres albums entre rock, douces mélodies, et sons electros, en constante évolution. C’est celle d’un groupe qui s’est découvert en musique, sur la route, et non pas avant de faire de la musique comme la plupart de leurs confrères. C’est sans doute pour cela que, même après 10 ans, ne pointe pas chez eux la moindre lassitude.
biographie trouvée sur le lien suivant : http://www.placebocity.com/biographie_placebo.html
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Biographie
23/04/2006 21:40
L'aventure du groupe Indochine commence en mai 81. Dominique Nicolas, fils de bonne famille comme le sont ses trois autres futurs compères, découvre la musique sur le tard, après s'être beaucoup investi dans le sport mécanique, version moto. C'est en fréquentant le Gibus, célèbre club parisien qu'il découvre l'univers de la scène et des groupes amateurs, alors que le mouvement punk touche à sa fin. Il commence lui aussi à se produire parmi quelques formations dont il change souvent, avec juste une guitare ou une boîte à rythmes. C'est en répondant à une petite annonce recherchant un guitariste qu'il rencontre Nicola Sirkis. Les deux jeunes gens qui ont alors tout juste 20 ans, s'associent et concoctent une maquette sur laquelle on trouve le titre "l'Aventurier".
Pour convaincre les maisons de disques, il leurs faut se produire sur scène. Pour leur premier concert, ils recrutent en catastrophe le frère jumeau de Nicola, Stéphane qui assure la partie clavier alors qu'il n'est que débutant. Il en va de même pour la dernière recrue, Dimitri Bodiansky, ami de Nicola, qui commence juste à apprendre le saxophone. C'est donc avec cette formation de fortune qu'Indochine voit officiellement le jour le 29 septembre 81 au Rose Bonbon, pour un concert mémorable parce que triomphal. En effet, le groupe produit une musique simple mais efficace, entre l'univers du rock et celui de la bande dessinée qui plaît beaucoup au public présent, amateur de nouveauté et de modernité.
Premiers disques
C'est quelques semaines plus tard, le 20 novembre que le groupe signe un premier contrat avec une maison de disques. En février 82, sort donc le premier 45 tours "Dizzidence politik", qui connaît un succès d'estime. En avril, Indochine assure les premières parties de Taxi Girl, le groupe phare du moment. En septembre, sort "l'Aventurier", mini-album de 6 titres qui va se vendre à quelques 250.000 exemplaires. Le simple du même nom atteint les sommets des hit-parades pendant l'été 83. Cette musique dansante et résolument jeune attire le plus grand nombre.
Décidés à profiter de la brèche qu'ils viennent d'ouvrir, les quatre membres d'Indochine se remettent au travail juste après avoir reçu le Bus d'Acier 83, récompense française décernée par la critique rock.
Si le nom du groupe vient sans doute de quelques accords de guitare "exotiques" datant de leurs débuts, Indochine finit par puiser l'inspiration, au moins au niveau des textes, dans ce que l'on pourrait appeler la "sphère asiatique". Pour preuve, le nom des titres du second album intitulé fort à propos "le Péril jaune" : "la Sécheresse du Mékong", "Okinawa", "Shanghai", etc. Les deux simples extraits de cet opus "Kao Bang" et "Miss Paramount" font à nouveau danser la France juvénile, développant au passage une fantastique "indo-mania".
Quatre garçons dans le vent
En fait, il faut attendre l'album suivant et son formidable succès pour se rendre compte de la place du groupe dans le paysage musical français. C'est avec "3" en 85 qu'Indochine "explose". D'aucuns disent que c'est un chef-d'œuvre, symbole d'une génération entière avec de nombreux titres forts comme "Canary Bay", "Tes yeux noirs" (Serge Gainsbourg en tourne le vidéo clip), "Trois nuits par semaine", "3ème sexe", d'autres se demandent encore si Nicola et ses acolytes sont de véritables musiciens ou des bidouilleurs chanceux. Mais les résultats des ventes sont là : le nombre d'exemplaires de l'album (on ne compte pas les 45 tours) avoisinent les 800.000. A partir de janvier 86, Indochine part en tournée à travers la France, avec une escale triomphale à Paris au Zénith du 24 au 27 mars et s'exporte aussi vers la Scandinavie où les jeunes filles s'enthousiasment pour ces quatre garçons dans le vent. Ils se retrouvent même n°1 du hit suédois. Un album live enregistré à Paris sort en octobre. De quoi leur faire tourner la tête.
Pourtant le groupe se remet au travail et retourne en studio dès février 87. Plus obscur que les précédents, l'album "7000 danses" sort en septembre, précédé par un simple "les Tsars". Débarrassé de la panoplie du "péril jaune", Indochine subit les assauts médiatiques de certains critiques rock qui devant leur énorme succès, ont du mal à voir en eux autre chose qu'un clone du groupe anglais Cure même si leur musique n'a rien à voir ! La rançon de la gloire est parfois terrible. Même si cet album marche moins bien que le précédent, cela n'empêche pas le groupe de faire sa rentrée à Paris en mars 88 au Zénith pour quatre concerts sold out. Ils se produisent aussi à Montréal au Québec devant 5000 personnes et triomphent le temps d'une tournée, au Pérou devant 45.000 personnes !
Plus que trois
Pris dans une routine difficile à éviter après plusieurs années de studios et de routes, le quatuor devient trio après la défection de Dimitri pour cause de paternité et sans doute d'un peu de ras-le-bol. Si le groupe accuse un peu le coup après ce départ, il trouve pourtant plus facile de travailler en trio. Après une période de repos qui leur permet à tous de se ressourcer, le groupe entre une nouvelle fois en studio de juillet à novembre 89. Pour la première fois, des musiciens extérieurs apportent leur participation : Martin Hanlin, batteur du groupe écossais Silencers, Mahmoud Tabrizzi Zadeh, musicien iranien et deux musiciens classiques. Au début de l'année suivante sort donc "le Baiser", nouvel album qui symbolise aux yeux de ses auteurs l'entrée dans les années 90. Reflet de leur vécu des deux dernières années, il semble être le plus personnel de leur production. Un simple en est extrait intitulé "Des fleurs pour Salinger" (en référence à l'écrivain américain). Sans tournée, l'album se vendra tout de même à 300.000 exemplaires.
Leurs dix ans d'existence se fêtent avec la sortie d'une compilation (sur laquelle figure un inédit), le "Birthday album" vendue à travers l'Europe entière, ravivant au passage l'"indo-mania". Plus de 600.000 exemplaires sont écoulés faisant taire les quelques-uns qui pensaient que le groupe était "fini". D'ailleurs la tournée qui suit en 92 est un véritable succès. L'Olympia où ils se produisent le 16 juin est sold-out. Une nouvelle génération de fans d'Indochine apparaît, beaucoup plus jeune, ado comme le public originel.
Après une escapade en solo ("Dans la lune" 92), Nicola retrouve ses deux autres acolytes et Indochine entre à nouveau en studio à Miraval durant l'été 93. "Un jour dans notre vie" et le simple "Savoure le rouge" ne connaît pas le triomphe que l'on espérait. Mais les fans sont toujours là et une tournée est organisée qui passe à l'Olympia les 13 et 14 mai 94.
Les temps changent
Le paysage musical français a beaucoup changé depuis leur début et les trois garçons d'Indochine se demandent maintenant s'ils y ont encore leur place. Dominique décide de partir et de se consacrer à d'autres projets. Les deux jumeaux restent alors seuls en lice avec l'ostensible soutien de leurs fans. Ils partent à la recherche d'un guitariste. Nicola rencontre Alexandre Azaria, ex-Cri de la Mouche. Le courant passe très bien. A la fin de l'année 95, le groupe signe un contrat pour trois albums avec BMG. Après la sortie d'une compilation en février 96, "Unita" et d'un simple inédit "Kissing my song", un nouvel opus baptisé "Wax" (cire en anglais) sort à la fin de l'année avec un passage au Casino de Paris le 16 décembre. Après avoir flirté avec le look de Cure, Indochine semble dorénavant inspiré par l'univers de la "brit pop" de Blur ou d'Oasis. En 97, le groupe tourne en dehors des frontières hexagonales (notamment en Belgique), sort un double CD "Indo live" (enregistré à Bruxelles) et se produit à la Cigale à Paris le 11 octobre.
Décidés à continuer l'aventure, les deux frères signent en fait un nouveau contrat d'enregistrement avec Double T Music France, filiale française d'une société belge et entrent en studio début 99. Malheureusement, Stéphane meurt brutalement à 39 ans le 27 février laissant Nicola seul avec ce nouveau projet. Projet qui prend corps avec la sortie en août de "Danceteria" et du simple "Juste toi et moi". Avec un nouveau groupe, il prépare une tournée. Et même s'il est désormais le seul rescapé de la formation initiale, il songe célébrer les vingt ans de carrière du groupe (en 2001) avec un album de reprises symphoniques ou des remixes de leurs tubes.
En octobre 2000, Nicola entame seul une tournée acoustique qu'il nomme "Nuit intime avec Indochine". Ce périple de 25 dates donnera lieu à un album live début 2001, "Nuits intimes". Ce disque présente le "groupe" sous un jour nouveau, plus mature, moins rock. La tournée se termine à la Cigale en janvier 2001. Dès le printemps suivant, Indochine commence à travailler sur leur nouvel album prévu pour 2002.
2002 : "Paradize"
Effectivement, en mars, Nicola alias Indochine à lui seul, sort "Paradize". Comme pour compenser les défections volontaires ou accidentelles de ses anciens collègues, il convie plusieurs artistes de renom : l’ex-bassiste des Smashing Pumpkins, Melissa Auf Der Maur, Gérard Manset, Jean-Louis Murat, le groupe Mickey 3D, les écrivains Camille Laurens et Ann Scott. Il retrouve ainsi le travail collectif qu'il apprécie tellement. Cela donne une œuvre très rock, version punk, avec un son brut qui signifie sans doute qu'Indochine ne veut pas se laisser aller à la facilité. Le premier simple issu de l'album s'intitule "J'ai demandé à la lune". A la suite de la sortie de l'album, Nicola se lance directement dans une tournée et se produit le 11 avril sur la scène de l'Olympia à Paris, complet plusieurs jours à l'avance.
Alors que l'album atteint quatre mois après sa sortie les 300.000 exemplaires écoulés, Indochine qui participe pendant l'été à plusieurs festivals sort un second simple intitulé "Mao boy". Ce titre est par ailleurs remixé de façon inattendue par le duo montpelliérain de musique électronique, Rinôçérose.
Indochine toujours en tournée, le groupe est sacré meilleur groupe français lors de l'édition 2002 des MTV Europe Music Awards organisés à Barcelone en Espagne le 14 novembre 2002. L'album "Paradize" s'est vendu à plus de 1 million d'exemplaires, un des plus beau succès de l'année en France. Les 15 et 16 novembre, le groupe se produit à guichets fermés au Zénith à Paris.
Au final, l'année 2002 aura été pour Indochine un marathon de concerts. Plus de cinquante dates à guichets fermés en France mais aussi dans d'autres pays francophones comme la Belgique, la Suisse, le Luxembourg et même le Canada.
Enfin, "Paradize" est récompensé aux Victoires de la Musique 2003, Meilleur album Pop Rock de l'année. Le groupe reprend alors la route pour une nouvelle tournée en 2003 qui se conclue par un concert dans l'immense salle de Paris Bercy, le 3 juin.
Durant l'été, Nicola Sirkis, le chanteur du groupe inaugure la première édition du X Festival, où Indochine s'aligne sur la même scène que d'autres groupes de rock comme Dolly, Mass Hysteria, Aqmé, Hoggboy, Mickey 3D et les Wampas. Ensemble, ils sillonnent l'Europe.
A la fin de l'été Indochine rentre en studio pour préparer un album live. Celui-ci est un double album qui sort en janvier 2004 sous le titre de "3.6.3", en référence à la date du concert de Bercy. Le succès est immédiat, le disque entre directement en tête des ventes. Deux mois plus tard, le DVD "Paradize show" paraît et regroupe six heures d'images de concerts et de reportages. Pour fêter ce succès, le groupe se produit le 24 janvier à Bruxelles (à 18h) puis à Paris (à 23h) dans deux salles combles.
2005 : "Alice & June"
A partir de mars, il commence à élaborer son dixième album. Enregistré entre juin 2004 et avril 2005, "Alice & June" est le premier double album d'Indochine, qui n'a pas choisi la voie la plus facile pour l'opus qui succède à l'énorme et salvateur "Paradize". Inspiré de "Alice au Pays des merveilles" de Lewis Carroll, "Alice & June" retrace le parcours de deux jeunes filles dans un univers étrange qui vire quelque fois au cauchemar. Emprunt d'un mal-être tout adolescent, quelque fois au bord du malaise, cet album sombre est aussi très rock. Entièrement produit par Oli de Sat, qui a rejoint le groupe en 1999, "Alice & June" accueille en son sein Didier Wampas pour "Harry Poppers" et Brian Molko, le leader de Placebo, sur "Pink Water".
Aux premières semaines de décembre, Indochine organise quatre "concerts secrets" entre Paris et Bruxelles pour présenter les nouveaux morceaux au public avant la sortie du disque, le 19 décembre.
Biographie trouvée sur le site : http://www.rfimusique.com/sitefr/biographie/biographie_8995.asp
Commentaire de lala la reine des près (25/04/2006 08:23) :
biographie ???lol ta sens doute pas eu le temps dle metre mais pk y a ke
moi ki met dé com sur ce blog ??? persone né o couran ?? c notre peti
secret lol j'dec
en faite fodra ke tu maprenne a faire le catégori jy arrive po :s
biisouuuuus
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Commentaire de lala la reine des près (02/05/2006 08:33) :
arfff oui la ok ... bisous
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Green Day
23/04/2006 17:19
Bon bah eux aussi sont pas tout jeunes ! lol
Ils ont eus un gros succes avec Dookie mais en ont eu moin ensuite pour en avoir de nouveau à la sortie d'American Idiot.
mes chansons favorites : Basket case, When I come around, Brain stew, Warning, Waiting, Minority, Good ridance, American idiot ,Holiday, Jesus of suburbia, Give me novacaine, Whatsername ,King for a day
Commentaire de JESUSWASAPUNK (23/04/2006 17:29) :
oooouuuuuuuhhhhhhhh greeeeenn daaaaaayyyyyyy ( avec une voix de pouf ) lol
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Placebo
23/04/2006 17:10
2é groupe génial ...Placebo
Ils ont maintenent 10 ans de carriére en tant que groupe et eux aussi n'ont fait que de la musique que pour ma part je trouve géniale
mes chansons préférées : 36 degrees, leur reprise de Daddy cool, Every you Every me, Infra red, Meds, Pierrot the clown, Pure Morning, Nancy boy, My sweet prince, This Picture
Commentaire de JESUSWASAPUNK (23/04/2006 17:28) :
oooh mais brian keske tu fé la ??? lol
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